Il faut reconnaître que l’énergie qu’exerce en nous cette force majeure qui naît de l’informe et de l’informel, du besoin de montrer ce qui ne se voit pas à l’oeil nu, de créer des gestes en gestation pour que naissent des « gestures », nous permet de créer et d’assembler des mouvements qui racontent ce qui ne peut être dit avec des mots.